PARMI CEUX QUI N’ONT RIEN DIT NI FAIT, LE SENTIMENT DE NE PAS ÊTRE ASSEZ COMPETENT EST LA PRINCIPALE RAISON ÉVOQUÉE POUR LE JUSTIFIER ; PAR AILLEURS, LES HOMMES ONT TENDANCE À MINIMISER LES SITUATIONS PLUS QUE LES FEMMES Question : « Pourquoi n'avez-vous pas dit ou fait quelque chose à propos de cette situation ? » (base : Ceux qui ont été témoins d'au moins une situation de harcèlement sexuel dans leur carrière universitaire et qui n'ont rien dit) Je ne savais pas quoi faire 28 26 28 C'était inutile, je pensais que ça ne changerait rien 21 18 22 Je pensais que ce n'était pas mon rôle 16 16 16 Je pensais que ça allait empirer les choses 16 12 17 La victime m'a demandé de ne pas agir 16 15 16 La personne visée n’avais pas l'air bouleversée / 15 19 14 ne se sentait pas victime Quelqu'un d'autre l'a fait 10 8 11 Je pensais qu'il n'y avait pas besoin d'intervenir / 9 20 7 la situation n’avait pas l’air si grave J'avais peur, je pensais que c'était trop risqué pour moi/ma carrière 9 4 9 Les autres témoins détournaient aussi le regard 6 7 6 Je pensais que quelqu'un d'autre allait intervenir 3 4 3 Une autre raison 14 17 13 Pas de réponse 5 7 4 77 ©Ipsos - Violences sexistes et sexuelles au sein du monde scientifique - Fondation L'Oréal -- Mars 2023

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